C’est « gentil » mais ce n’est pas « oui » – j’en ai rien à foutre que ce soit « gentil » moi, qu’est-ce que ça me fait à moi si c’est « gentil » mais que ce n’est pas « oui », moi je veux que ce soit « oui » car il n’y a que le « oui » qui soit « gentil » et si ce n’est pas « oui » alors c’est forcément « non », que ce soit « gentil » ou non, « gentil » c’est « non », et ce n’est pas « non » qui importe mais « oui » donc répondre que c’est « gentil » en réalité ce n’est pas très « gentil », et plutôt que de cacher le « non » derrière le « gentil » pourquoi ne pas tout simplement dire « non » puisque de toute manière gentil ou non ce n’est pas « oui ».
Laisse-moi jouer, rêve, enfant de putain ! Me laisseras-tu sortir des rails ? Cesseras-tu d’enfermer ma folie, ma volonté ? Tu n’es rien ! rien sans moi. Dès que je romps…
Puis nous partions en virée. Tu connais pas Malo ? Viens, je te montre. Les filles là-bas, c’est pas croyable, tu verras. Je voulais bien le croire, on partait…
Un train et un homme très pressé arrivaient simultanément. Me trouvant sur le passage un peu en amont de la gare je décidai d’observer cette coïncidence de faits. L’homme…