Siphon

Elle ne se souvenait plus, elle était indifférente. 

Il aurait beau dire, beau faire, rien ne lui reviendrait. 

Vaguement un « ah oui ? », vaguement un « c’est vrai ? », vaguement un « en es-tu sûr ? ». 

Non, rien, il ne décrocherait plus rien. Il était désormais seul du côté de la mémoire. Le souvenir n’était plus un pont mais un miroir.

Là est la solitude. Là sont les apatrides. Ceux qui n’ont plus de souvenirs partagés. 

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