Vous êtes dans un appartement, une grande fête s’y prépare, des convives arrivent au fur et à mesure, ils vous ressemblent mais vous n’êtes pas convié ou plutôt vous ne souhaitez pas l’être car vous avez votre chambre et cet évènement perturbe sa tranquillité, vous entendez des rires mais vous n’arrivez pas à vous réjouir, ce tintamarre vous paraît bien abstrait… c’est alors que soudain, depuis les escaliers, sur le seuil apparaissent vos chiens : ils sont cinq, ils sont beaux ; joviaux… vous ne les avez jamais vus mais ils sont vôtres et leur vue vous rend heureux. Une joie profonde, sincère. Ils vous célèbrent en jappant, tournent autour de vous en courant. Ils vous aiment : c’est cela votre fête.
Au Pari Fermier, marché de l’agriculture locale, la beauté des exploitantes me surprit. J’en venais à douter que ce fût bien elles et non pas quelques belles dames employées à…
L’écriture c’est la liberté totale, c’est l’infini du possible ; c’est New York : Now you’re in New York, concrete jungle where dreams are made of There’s nothing you can’t…
Si l’on s’était arrêté à la surface, on n’en aurait rien su. On aurait mordu comme de rien, distraitement.Précisément c’est ce qu’il avait fait. Il avait croqué dedans sans trop…