Il y aurait cette tablée de femmes ni belles ni laides n’ayant rien à se dire. Elles se trémousseraient avec gêne, cherchant un point d’appui mais ne trouvant que leur anxiété. De dépit, elles finiraient par s’évader dans leur portable, mais ce serait pitoyable pis-aller car cet instrument stupide resterait indifférent à leur solitude. Elles attendraient désespérément l’homme mais l’homme ne viendrait pas car il était parti à la guerre et reposait maintenant dans un champ de blé ; dans sa tombe d’or il avait été recueilli, tandis qu’elles, à leur table solitaire, attendaient la leur. Cependant elle serait bien moins radieuse car à triste table, triste tombe.
Il est un problème avec la guerre en Ukraine, c’est que nous interdisons aux Européens l’accès aux plus belles femmes du monde, à savoir les Russes. Maintenant les Français doivent…
Quand bien même nous le voudrions de tout notre cœur, nous ne pourrions plus rien changer, car la machine a été lancée, nous ne sommes plus que prisonniers d’une inertie…
Lorsqu’il eut traversé les quartiers Lego, les monstrueux bâtiments ; lorsqu’il eut croisé les vagabonds sombres, perdus dans les rues sans lumière ; qu’il eut vaincu les panneaux publicitaires, les…