Il est un problème avec la guerre en Ukraine, c’est que nous interdisons aux Européens l’accès aux plus belles femmes du monde, à savoir les Russes.
Maintenant les Français doivent se dépêtrer des Françaises, et c’est situation bien triste.
Car les Français aiment les Russes, au moins autant que les Européens. Ils aimeraient donc bien qu’on les laissât les aimer.
Maintenant chaque homme se fatigue des femmes de son pays car il en comprend la jactance et il ne peut y échapper car la vodka -compagnonne habituelle dans cette situation délicate- n’arrive plus sur nos sols.
Tandis que, nous ne parlons pas la langue de Pouchkine, nous ne pouvons donc comprendre les Russes. De plus elles ne parlent pas. Elles restent là, en face de nous, dans de belles robes une pièce en tissu noble et soyeux, à nous scruter de leurs yeux verts, et nous, à l’autre bout de la table, sur notre chaise inconfortable, ne savons que dire, que faire. Nous restons petits animaux en face d’elles tandis qu’elles se délectent de notre gêne et que nous sommes bien gauches quoi qu’heureux.
Elles sont effigies.
Qu’elles soient muettes et préférées entre toutes devrait porter à réflexion. Cependant ce n’est pas notre sujet…
Ce qui importe c’est que la guerre cesse, ou qu’a minima on nous laisse la vodka, car toutes ces rodomontades sont trop pénibles pour être supportées sobre.
Non ?
Alors, sans paix et sans vodka, des femmes de son pays prisonnier, l’homme européen n’a plus d’autre choix que l’homosexualité.

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